Stéphane Diagana

Athlète engagé et figure du sport-santé, il partage avec Hyundai la conviction que chacun peut progresser à son rythme.

Stéphane Diagana arrow

’’ La régularité et la progressivité, c’est vraiment la base pour durer. ’’

Stéphane Diagana en train de courir sur une piste. Stéphane Diagana en train de discuter avec des coureurs. Stéphane Diagana en train de courir un autre coureur.

A travers le programme Run To Progress, Stéphane Diagana transmet son expérience pour aider celles et ceux qui veulent se lancer dans une pratique accessible et durable.

Interview

Pourquoi t'es-tu engagé dans ce partenariat avec Hyundai ?

Avec Hyundai, on s’est tout de suite retrouvés autour d’une idée commune : accompagner celles et ceux qui veulent se (re)mettre à courir. Je le faisais déjà à mon niveau, dans des échanges ou des rencontres. Le programme Run to Progress est allé encore plus loin, en proposant un vrai cadre pour aider les gens à se lancer, même après 15 ans de sédentarité.

C’est un projet qui mêle sport, progrès et bienveillance. Et c’est tout ce que j’essaie de transmettre aussi.

Stéphane Diagana sur une piste d'athlétisme.

Comment décrypter les termes techniques du running ?

Il y a pas mal de jargon dans le monde du running, surtout en course à pied. Un terme qu'on entend souvent, c’est la VMA, la Vitesse Maximale Aérobie. C’est un élément clé à connaître, car c’est la vitesse minimum à partir de laquelle vous atteignez votre maximum de consommation d’oxygène. Au-delà de cette vitesse, même si vous accélérez, vous ne consommerez pas plus d’oxygène.

C’est aussi lié à un autre acronyme qu’on entend souvent l'EF : l’Endurance Fondamentale. Ce sont toutes les séances effectuées autour de 65 % de cette VMA. L’endurance fondamentale, c’est vraiment la base. En travaillant à ce rythme, vous pourrez petit à petit battre votre PR, votre "personal record" ou record personnel, selon comment vous préférez l’appeler.

Stéphane Diagana en course avec d'autres coureurs

La première chose à faire quand on veut commencer à courir, c’est quoi ?

La première chose, c’est d’être réaliste. Avant même de courir, il faut regarder son emploi du temps, ses contraintes professionnelles ou personnelles, et voir combien de séances on peut vraiment intégrer chaque semaine. Une fois ce cadre posé, on construit. Et surtout, on y va progressivement.


Pas la peine de viser cinq séances directement si ça fait des années que l’on n’a pas couru. On commence à deux, on stabilise, puis on augmente. La régularité et la progressivité, c’est vraiment la base pour durer.

Pas la peine de viser cinq séances directement si ça fait des années que l’on n’a pas couru. On commence à deux, on stabilise, puis on augmente. La régularité et la progressivité, c’est vraiment la base pour durer.

Courir un marathon, c'est comme rouler en électrique sur une longue distance : tu gères ton énergie ou tu appuies à fond ?

Courir un marathon, bien sûr, c'est une affaire de gestion et d'endurance. Donc on n’appuie pas à fond. On est en mode éco comme pour la voiture, si on veut tenir la distance ou réaliser son chrono.

Stéphane Diagana en train de courir avec une joggeuse

Comme les véhicules électriques, la course à pied est de plus en plus démocratisée, qu'en penses-tu ?

La course à pied est devenue beaucoup plus accessible, avec des formats variés comme les courses connectées, les événements grand public ou les challenges en ligne. On voit de plus en plus de personnes s’y mettre, parfois sur un coup de tête, avec l’envie de reprendre leur santé en main.

C’est une discipline simple, peu coûteuse, qui ne demande pas beaucoup de matériel, et qui peut s’adapter à tous les niveaux et à tous les rythmes de vie.

Un joggeur en train de courir sur une piste

Moment clé

1997

Athlète de haut niveau, Stéphane Diagana perçoit la mobilité comme un écho direct à sa discipline : une question de rythme, d'engagement, de maîtrise et d'équilibre.

Stéphane fait partie des figures majeures de l’athlétisme français. Le 4 août 1997, il entre dans l’histoire en remportant la finale du 400 m haies aux championnats du monde d’Athènes, en 47 secondes 72. Une performance qui illustre parfaitement son sens de la trajectoire, de la rigueur… et de la vitesse.

Stéphane Diagana en train de courir sur une piste

Découvrez nos autres ambassadeurs

Cliquez sur un de nos ambassadeurs pour découvrir leurs parcours et leurs inspirations à travers d'interviews exclusives !

Pour plus d'informations, Hyundai vous propose plus d'actualités sur Découvrir Hyundai

arrow